Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (29) : Rachid Reprend « Ses Droits ».
Jusquà présent, jai décrit le cheminement de notre couple, celui qui nous a conduits à laisser libre cours à mon hypersexualité et au candaulisme de Philippe. Jai beaucoup insisté sur les deux ans où nous étions sous la coupe de Rachid, parce que ce fût une période où nous avons été au bout de nos envies et fantasmes respectifs, sans entraves, mais où nous sommes souvent allés trop loin, ruinant notre réputation et nous mettant quelquefois en danger par des pratiques extrêmes.
Si aujourdhui Philippe et moi nous sommes toujours ensemble et avons réussi dans lensemble à mieux réguler nos pulsions, sans toutefois y renoncer, il y a eu une période où nos chemins, à Philippe et moi, se sont temporairement éloignés.
Sous linfluence de Flavienne, lancienne compagne de Philippe et, en ce qui me concerne, de Hassan, qui fût plus que mon second « mâle », mais aussi mon second mari et le père assumé de ma seconde fille, avant que Philippe et moi nous nous retrouvions et que nous reconstituons notre couple. Cette séparation a duré 18 mois et a montré, à lun comme à lautre, combien nous étions complémentaires, je dirai même inséparables. Lhypersexuelle que je suis a besoin de lamour de son mari candauliste et la réciproque est vraie également.
Cette période difficile nous a cependant permis de nous libérer de Rachid.
Rachid le cruel
Celui-ci mavait complétement négligé pendant les dernières semaines de ma grossesse. Il ne vivait plus sous notre toit et ne cachait pas quil était désormais chez Marie C., qui trouvait là une nouvelle occasion de me faire souffrir et espérait provoquer la jalousie de Philippe. Il ajouta que pour le moment, il navait «plus envie » de moi.
Comme je lai raconté, ce brutal « sevrage», après une longue période où Rachid avait exacerbé tous mes sens, fut difficile à vivre. Philippe, par sa tendresse et son désir, compensait comme il le pouvait. Depuis longtemps, et compte tenu des calibres des amants qui sétaient succédé près de moi, mon mari ne pouvait mapporter satisfaction par pénétration vaginale, et en particulier dans mon état.
Comme je lai raconté dans le récit précédent, javais fini par prendre un amant régulier, Alain, pour calmer mon hypersexualité et pallier la désertion de Rachid. Et ce dautant plus que javais appris, ce qui avait provoqué ma colère et de vis reproches envers lhomme de ma vie, que Philippe sétait rendu plusieurs fois chez Marie C. pour des parties à trois, Rachid étant aussi lamant de Philippe, à qui il avait fait assumer sa bisexualité refoulée (voir récit n°18) Cétait devenu une obsession pour la terrible Marie que me prendre mon mari (voir récit n°19)
A la maternité, auprès de moi pour laccouchement, pas davantage de Rachid. Cest Philippe qui était à mes côtés constamment, y compris pendant la naissance de ma première fille, Lucie. Philippe était attentionné, tendre, amoureux, me tenant la main, me disant combien jétais belle alors que le travail avait déjà commencé. Sa présence constante me rassurait et contribua à ce que tout ce passe merveilleusement bien. A tout point de vue, Philippe se comportait comme le père, tandis que le géniteur ne prenait aucune responsabilité, comportement quil avait déjà eu envers sa précédente compagne, Sylviane (voir récit n°9).
Et comme convenu, Philippe a reconnu l et a immédiatement exercé ses responsabilités de père, y compris changer les couches et faire la toilette du bébé. Il était si fier de «sa» fille que jen arrivais à penser que cétait bien lui qui lavait conçue. Et quelque part cétait vrai, car sans Philippe, rien ne se serait passé. Quelques semaines après, Philippe organisa le baptême républicain de notre , cérémonie à laquelle nous avions invité largement.
Quant à Rachid, il daigna réapparaître après mon retour de couches. Il ne marqua envers moi aucune tendresse et aucun intérêt envers l, quil avait pourtant conçu. Il nous fit juste savoir quil reprendrait «ses droits» sur moi dès que je serai en état, pas avant. Dici là, il fallait que je fasse le maximum pour que mon corps soit «comme avant». Rachid fit la moue quand il sut que jallaitais, car, du coup, mes seins restaient lourds. Philippe me poussait à rompre avec ce sale type, je ne le voulais pas, je voulais conserver mon équilibre entre la tendresse et lamour de mon mari et la bestialité dun amant qui mavait déjà donné tant de plaisir.
Un mois environ après laccouchement, mon gynécologue me confirma que je pouvais à nouveau avoir des relations sexuelles. Rachid avait demandé que ce soit Philippe qui le prévienne, ce quil fit à ma demande insistante.
Rachid le mâle
Quand Rachid arriva, jétais en train dallaiter. Philippe était présent, car il aimait me voir donner le sein à notre fille. Je le récompensais souvent dailleurs en lui permettant, une fois que le bébé était rassasié, de venir à son tour goûter au nectar de sa chérie. Ses lèvres et ses mains sur ma poitrine me rendaient folles et, en général, je demandais à mon tour à pouvoir aussi le traire et avaler sa semence que jaimais tant.
Rachid, une fois de plus, ne sencombra daucune tendresse. Il descendit son pantalon. Il bandait déjà et je matais lobjet de mon désir, qui mavait tant manqué. Je voulais que Philippe amène l dans sa chambre, mais Rachid sy opposa :
Pour le moment, elle ne se rend compte de rien. Elle saura bien assez tôt que sa mère est une putain.
Alternativement, Philippe et moi nous avons taillé une pipe à notre amant commun. Je commençais à être excitée, mais je ne mouillais pas autant que dhabitude, ce qui était normal moins dun mois après les couches. Et la lubrification était indispensable pour profiter pleinement et sans douleur dune queue du calibre de Rachid. Celui-ci le savait et ordonna à Philippe de me lécher longuement, pendant que lui-même continuait à utiliser ma bouche comme un vagin.
Philippe mit toute sa passion pour me faire monter au 7ème ciel. Jamais il ne mavait donné autant de plaisir en me «faisant minette». Je tenais sa tête, jaurais voulu le faire rentrer dans mon ventre. Ses mains ne restaient pas inactives, il me caressait tendrement, sattardant sur mes seins. Ses doigts pressaient mes tétons jusquà faire surgir mon lait. La bouche remplie par la queue de Rachid, je ne pouvais que gémir de plaisir, alors que jaurais voulu crier. Je me suis libérée :
Oh oui, Philippe, mon amour, je viens. Oh mon chéri, je taime, encoreeeee. Oui, bois-moi !!!!
Philippe mit les mains sous mes fesses, pour que sa bouche colle mieux à ma chatte, mon corps étant secoué par lorgasme. Jinondais le lit et le visage de Philippe, qui vint vers moi pour membrasser et partager avec moi mes sécrétions.
Je voulais autre chose et les deux hommes le savaient.
Mets-toi à quatre pattes, je vais te saillir, salope. Je vais te baiser comme une chienne que tu es. Demandez-le-moi !
Oh Rachid, je ten supplie. Baise-moi, jen ai tant envie. Ca ma tant manqué !
Et toi, Philippe ? Quen penses-tu ? A qui est Olga ?
A toi, tu le sais bien ! Quattends-tu, tu vois bien quelle en crève denvie ? Saute-la !
Ca texcite, petit pédé, espèce de cocu, quun mâle envoie en lair ta putain ? Et toi, chienne, tu aimes te faire niquer devant lui ?
Oui, viens, mets-la moi !
Rachid bandait à fond.
Hum comme elle est bonne ta chatte, salope. Tu la sens bien ? Prends-ça ! Tu aimes, hein ?
Uhhhh Oh oui, tu me remplis bien. Vas-y, mets-la bien au fond et chevauche-moi !
Rachid était derrière moi. Très vite, il se mit à me pilonner, avec violence. Ses couilles lourdes frappaient mes fesses.
Oh oui, vas-y !!!!! Oui, plus fort, bien au fond de mon vagin, cogne contre ma matrice ! Défonces-moi, ramones ma chatte. Ahhhh Philippe mon chéri, approche ! Ça te plait ?
Oui, mon Olga, tu es encore plus belle quand tu as autant de plaisir. Jai tant voulu cela.
Je taime mon Philippe, mais mon mâle cest Rachid, je ne peux pas me passer de lui.
Philippe ne se contentait pas du rôle de spectateur. Il me couvrait de baisers, je lui offrais mes lèvres, pendant que létalon me forniquait sans ménagement. Je branlais Philippe. Cest lui que je regardais, nos yeux mi-clos par le plaisir. Philippe me baisait par procuration.
Rachid continuait à me posséder, et montrait une endurance hors du commun, alors que jenchaînais les orgasmes. Mon cur battait si fort dans ma poitrine. Jétais au bord de lévanouissement. Je me disais que Rachid allait me . La sueur coulait de mes tempes et faisait coller mes cheveux. Mon visage était déformé par un plaisir inouï.
Il me couvrait dinjures :
Sale chienne, tu aimes-ça, cochonne !
Oh oui, narrêtes-pas, sil te plait ! Encoreeeeee !
Je vais te livrer à dautres mecs. Je ferai de toi une grande putain. Tu veux des queues ? Je ten trouverai beaucoup !
Oui, offre-moi à tous ceux que tu veux. Je veux être baisée, enculée, je suis une salope, une catin. Ouiiiiiiiiii
Tu es à moi ?
Oui, je suis à toi. Tu es mon homme, mon mâle.
Je vais te remplir, te noyer la chatte sous des flots de sperme. Je te ferai dautres bâtards !
Oh oui, viens ! Et toi Philippe, approche, tu vas gicler sur moi comme on gicle sur une pute, tu vas men mettre partout, mon chéri.
Rachid sabattit sur moi et, dans un dernier effort, il menvoya au fond de mon vagin de puissantes giclées.
Prends-ça ! Salope !!!!! Ohhhhhhhhh
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Tu me tues !
De son côté, et au moment même où Rachid sanéantissait en moi, Philippe se masturbait devant un spectacle terriblement érotique, le plaisir incroyable de la femme quil aimait tant.
Brisée par le plaisir, ma chatte débordant des flots de sperme du mâle, je maffale sur le dos, attendant que Philippe mhonore à son tour de son plaisir. Il dirigea sa verge sur moi. La première giclée matteignit aux cheveux et au visage. Jouvrai la bouche pour essayer den recueillir. La seconde fut dirigée vers mes seins. Jétalais soigneusement la crème dont venait de me gratifier mon mari candauliste.
Ayant fini son «devoir conjugal», Rachid sétait immédiatement retirer, fier de sa prestation et certain de sa totale emprise sur moi. Il navait pas perdu son temps en préliminaires, il navait pas lintention de marquer le moindre signe de tendresse.
Il me présenta sa queue devant la bouche pour que je la nettoie. Javais envie de tendresse et sans aucun doute de remettre ça dès que le mâle aurait récupéré ses forces.
Lui, il ne lentendait pas ainsi. Il avait assuré, ça suffisait. Il se retira après mavoir annoncé que nous allions reprendre le rythme normal et que, dès le mardi suivant, il mamènerait dans la cité, dans lappartement de son ami Kamel (voir récit n°20). Cela faisait des mois que je ny étais plus allée et jétais attendue avec impatience. Il mannonça aussi quil allait aussi organiser dautres parties spéciales pour moi, car, dit-il, il y a encore tant de mâles dans cette ville qui « ne te sont passés dessus ». Il signala aussi quétait aussi prévue une date pour une partouze SM organisée par Marie, dans la maison de campagne mise à disposition par Jean et Christine. Rachid nous fit comprendre que Marie me poursuivrait de sa vindicte tant quelle naurait pas atteint son objectif, me prendre Philippe. Je lui répondis que Philippe était à moi et que personne ne me lenlèverait. Rachid se contenta de répondre, avec un sourire sadique :
Alors tu nas pas fini de souffrir, car jamais elle ne renoncera à ce quelle veut ! Sur ce je vous laisse, les amoureux !
Ce fût Philippe qui, ce jour-là, une fois de plus, combla mon besoin de tendresse. Il commença par aller nettoyer soigneusement ma chatte, se délectant du mélange de mes secrétions et de la semence de Rachid. Je le récompensais dun baiser amoureux et nous partagions ensemble le reste de ce quil avait recueilli. Puis nous sommes restés longuement dans les bras lun de lautre, Philippe membrassant et me caressant délicatement.
Chéri, ça ta plu, je le sais. Jai eu autant, sinon plus de plaisir que la première fois où Rachid ma prise dans lascenseur ou devant toi. Mais tu sais, jai tellement honte de ma faiblesse. Quand il me prend, toute volonté chez moi disparait. Je ne pense plus quau plaisir quil me donne.
Olga, nous pouvons trouver un autre amant, tout aussi performant, mais qui ne soit pas comme celui-là, brutal, cynique, violent. Il te traite comme une prostituée. Je suis lucide, il croit se venger sur nous, nous incarnons pour lui tout ce quil déteste. Et en plus, Marie, qui te hait, et sest mis en tête de nous séparer, a beaucoup dinfluence sur Rachid. Chérie, il faut arrêter ça. Ils te font du mal, ils veulent nous détruire.
Jen suis consciente, mais je ne suis pas encore prête. Dabord, je prends un plaisir infini à ce que Rachid organise pour moi. Quant aux séances SM, pour moi, cest aussi une punition méritée pour mes fautes depuis ma plus tendre adolescence.
Jexpliquais pour la première fois à Philippe ce qui sétait passé dans mon adolescence et mes relations avec mon père. Philippe mencouragea à men ouvrir à un psychanalyste pour que je surmonte tout cela.
Olga tu es la femme que jaime. Je veux que tu sois libre, que tu connaisses tous les plaisirs du monde, jadore te voir jouir sous les assauts dun mâle. Mais je ne veux pas que tu souffres ou que tu te punisses.
A ce stade, nous en restâmes là, malgré les instances de Philippe.
Rachid avait montré depuis longtemps quil navait aucun sentiment pour moi, jétais juste pour ce macho une femelle, une bourge bonne à baiser et il comptait bien en profiter encore un peu. Au fil des semaines, il se montrait de plus en plus brutal, me traitant très mal, ne se gênant pas aussi pour se comporter de la même manière, envers Philippe, pour lequel il navait que mépris du fait de son candaulisme et de sa bisexualité.
Cest dans ce contexte, que, deux semaines après que Rachid eût en quelque sorte affirmé ses droits sur moi et notre couple, jai rencontré Hassan. Hassan était le grand frère de Kamel, ce copain de Rachid chez qui se déroulaient chaque semaine les parties à la cité (voir récit n°20), au cours desquelles jétais offerte aux jeunes du quartier choisis par Rachid et Kamel.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!